"Je pense qu'il faut consulter quand on est trop nécrophile", a jugé Jean-Luc Hees dans le Buzz Media Orange-Le Figaro, mercredi, à propos de Stéphane Guillon. Ledit Guillon qui, après avoir "enterré" Nicolas Sarkozy dans une de ses chroniques, a "enterré" mercredi matin... son patron. Depuis plusieurs mois, le président de Radio France ne sait plus comment se débarrasser de cet humoriste grinçant qui ne le fait pas vraiment rire.
Dans le livre de Bérengère Bonte sur Nicolas Hulot, Sain Nicolas (Editions du Moment), qui sort jeudi, on découvre ainsi un dialogue inédit entre l'écolo et le patron de Radio France, qui en dit long sur les relations Guillon-Hees.
"Je vous présente mes excuses" (Hees à Hulot)
Nous sommes fin 2009. Le film de Nicolas Hulot, le Syndrome du Titanic, vient de connaître un bide en salles. Les critiques vont bon train. Guillon ne se prive pas, comparant Hulot à "une vieille pute qui vient d'entrer dans les ordres (...)". Piqué au vif, l'écolo préféré des Français décroche son téléphone pour en parler au patron du trublion. Voici leur entretien, dixit Hulot :
"D'abord, je ne comprends pas que vous ne portiez pas plainte ! dit le patron de Radio France.
- À quoi ça servirait ? réplique Hulot. Cet homme est suffisamment habile pour savoir ce qu'il peut faire, et puis je ne suis pas procédurier.
- En fait, vous et moi, on est piégés ! Moi aussi, je suis piégé parce que moi, je ne peux pas toucher à Guillon".
La conversation se termine par ces mots de Hees :
"En mon nom personnel, et au nom de Radio France, je vous présente mes excuses."
Source: -20100506]lepoint.fr
France inter en a produit quelques uns de ces intouchables de la radio comme Mermet ou Ruquier qui sous prétexte d'être déboulonnable se sont permis tout et n'importe quoi.
C'est d'ailleurs pour ça que je n'écoute plus du tout cette radio, je préfère me passer de radio que de mes écouter d'ailleurs.
C'est dommage d'ailleurs car des hommes comme Jean-Luc Hees, étaient des journalistes de premier ordre et c'était vraiment des valeur sure pour cette radio.
Le fait de voir que Jean-Luc Hees ce dise piégé en dit long sur le monde de radio France et là encore c'est un truc qu'il faudrait privatiser.
Est ce que l'était à besoin de toutes ces radios et télés qui coutent en fortune et qui ne sont pas rentables.
France Inter privatisé sans de grosse restructuration, ne tiens pas 6 mois face à la concurrence.