J'ai des maîtresses c'est pas interdit ?????

Le conjoint de la conductrice au niqab est sorti du silence. Menacé par Brice Hortefeux d'être déchu de la nationalité française parce qu'il «vivrait avec quatre femmes», Lies Hebbadj se défend d'être polygame, en affirmant avoir des maîtresses. «A ce que je sache, les maîtresses ne sont pas interdites en France, ni par l'islam.


En savoir plus
Bras de fer politique autour de l’homme accusé de polygamie
Ce que dit la loi
Peut-être par le christianisme, mais pas en France», a-t-il martelé face à la presse, lundi à Nantes. «Si on est déchu de sa nationalité pour avoir des maîtresses, il y a beaucoup de Français qui seraient alors déchus de la nationalité», a ironisé le commerçant nantais de 35 ans.

Lies Hebbadj est dans le collimateur du ministre de l'Intérieur depuis que sa conjointe a publiquement contesté, jeudi dernier, une amende de 22 euros, reçue pour avoir conduit en portant un niqab, un voile qui ne laisse apparaître que les yeux.

La prudence d'Eric Besson
Le débat sur l'infraction de la jeune femme passe aussitôt au second plan. Vendredi 23 avril, lorsque la Nantaise de 31 ans organise une conférence de presse pour raconter son histoire face aux caméras, Brice Hortefeux envoie le soir-même une lettre au ministre de l'Immigration, Eric Besson, lui demandant d'étudier de près le dossier du mari de la jeune femme.
Dans ce courrier, le ministre de l'Intérieur évoque des soupçons de polygamie et de fraudes sociales. Le destinataire de la lettre, Eric Besson, est, lui, resté prudent. Dès samedi, dans une interview accordée au «Parisien Dimanche», il expliquait : «Si ces faits sont avérés, la justice doit être saisie. Si une condamnation intervient, des sanctions pénales seront prononcées. J'étudierai alors, avec la garde des Sceaux, l'éventuelle déchéance de nationalité de cette personne».
Dans les mosquées de Nantes, c'est l'indignation
A Nantes, la plupart des représentants d'associations de musulmans dénoncent une «stigmatisation systématique» et «une islamisation de l'événement».
Reste maintenant à prouver la polygamie de l'homme. A juste titre, Xavier Ronsin, procureur de la République à Nantes, a rappelé que «si un homme est marié civilement, mais a cinq maîtresses, l'adultère n'est plus puni par la loi». Lies Hebbadj évoque bel et bien des «maîtresses» et non des épouses. En outre, une source informée à la caisse d'allocations familiales de Loire Atlantique affirme que l'homme n'a rien à se reprocher. Son cas n'aurait jamais fait l'objet d'une procédure particulière.
Ouverture d'une enquête préliminaire
Malgré tout, le parquet de Nantes a ouvert une enquête préliminaire pour «suspicion de relations polygames» et des «interrogations sur la régularité des aides sociales dont bénéficierait plusieurs personnes de sexe féminin qui seraient en relation».
L'avocat de Lies Hebbadj, Franck Boëzec, a quant à lui, démenti les accusations «totalement fantaisistes» de polygamie et de fraude visant son client. «Un certain nombre de ministres de la République ont formé des déclarations qui sont totalement fantaisistes», car «il n'y a ni polygamie, ni fraude aux prestations sociales». Il évoque aussi un «dossier qui a priori est simple parce qu'il est vide», a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse à Nantes.
«Accuser même par voie de courrier un autre homme d'avoir des comportements contraires à la loi et susceptibles d'être des infractions pénales, du jour au lendemain, c'est intentatoire au principe de dignité, ça pourrait même être qualifié de diffamation», a poursuivi Me Boëzec. L'avocat et son client n'excluent d'ailleurs pas d'en arriver-là. Mais «si ça s'apaise, il n'y a pas de raison d'aller sur ce terrain-là», a-t-il tempéré.
Lies Hebbadj, né à Alger et arrivé en France à l'âge de 2 ans, a obtenu la nationalité française il y a une dizaine d'années par mariage. S'il est condamné par la justice pour les faits qui lui sont reprochés, Eric Besson pourrait alors le déchoir de sa nationalité française. Pour l'heure, le ministre a tout juste réuni un groupe d'experts. «La question est discutée. Elle est controversée, a-t-il dit. «Seule la justice peut apprécier ce type de situation

Le Parisien

C'est tout le problème, les petits malin profitent des aides et des failles des lois justement parce qu'ils les connaissent bien.


Comment veux tu après que ça n'énerve pas les gens ce genre de truc, ça explique très bien, même si je ne cautionne pas, les tir contre les moqués et autres boucherie hallal.

Je dois dire que je suis quand même sidéré qu'il y ai des femmes qui acceptent ça en France en 2010, il y a encore du travail à faire avant que tous le monde ne soit sorti de l'obscurantisme.

En tout cas, j'espère qu'il vont trouver la faille juridique pour régler cette histoire ou alors il va falloir faire de nouvelles lois pour y remédier.

voilà se que moi je pense et je me trompe que trés rarement

moi je c'est que chez eux les femmes ne peuvent pas de maris que par le marriage , donc il les a épousé dans leur pays pour ètre en conformité avec sa religion
chez eux une femme qui couche avec un homme sans ètre mairer est puni de mort
donc il est marié avec elle au pays et en france il déclare que ce sont ces maitèsse
c'st si facil de détourné la loi en france par cette pratique
il a des gosse avec c'es femme , il ne le reconnais pas et c'est femme devienne donc mère sélibataire et on toute les aides et lui en profite un max

En fait, il contreviens à une loi quand même car d'après ce que j'ai compris, il est marié religieusement mais pas civilement.

Or si je ne fais pas erreur, en France on ne peut pas se marier religieusement avant d'être passer devant le maire.

Après la réponse est toujours la même, si il veut vivre comme au bled, la meilleure solution c'est de retourner au bled.