Durant les trente glorieuses, le partage un peu plus équitable des richesses faisait de nous des nations performantes, maintenant, en mettant en concurrence les salariés, en délocalisant et bradant par la même occasion les outils de productions et surtout le savoir pour le profil immédiat d'une infime minorité, il y a eu le mirage du crédit pour faire croire aux salariés qu'ils étaient riches. Bref, la mondialisation heureuse ne concerne surtout pas le citoyen de base, et je sens vraiment un glissement vers la joyeuse époque de Germinal, ou de Dickens dans les années 30 aux US.
Pour les services publics, ce que je crains c'est que ce soit bradé comme les concessions autoroutières, au profit encore des mêmes parasites, et que ce soit encore la population qui en subisse les désagréments de ces monopoles offerts.
Privatiser, oui quand il peut exister une saine concurrence, non avec l'état d'esprit actuel.
Pour les services publics, ce que je crains c'est que ce soit bradé comme les concessions autoroutières, au profit encore des mêmes parasites, et que ce soit encore la population qui en subisse les désagréments de ces monopoles offerts.
Privatiser, oui quand il peut exister une saine concurrence, non avec l'état d'esprit actuel.