Bonsoir Jean Pierre!
Moi j'aime bien Miterrand...
J'ai voté deux fois pour lui et j'ai lu
des livres le concernant.
Chacun ses têtes!
Info du Canard enchainé!
« Sarkozy girouette ! »
Nicolas Sarkozy refuserait-il vraiment
d’aller à Matignon ?
Même ses proches collaborateurs ne
savent pas à quoi s’en tenir.
Il faut dire que l’intéressé change
chaque jour de discours.
Le 3 mai, après la parution dans
« Le Monde » du procès-verbal de
l’audition du général Rondot, Sarkozy
s’exclame, en petit comité :
« Je ne peux pas rester dans une
gouvernement dirigé par quelqu’un
qui s’est comporté avec moi comme
un voyou, avec à ses côtés une ministre
de la Défense qui m’a tout caché.
Et, au-dessus de lui, un président
dans le coup ! »
Sarkozy faisait machine arrière
quarante-huit heures plus tard,
toujours devant son équipe :
« Matignon, cela ne se refuse pas. »
Entre les croassements du corbeau…
Un prétendant qui se prend pour
le nouveau phénix ,mais qui louvoie
comme une girouette.
Nous n’avons pas fini de subir
une politique du coq à l’âne !
oscar
Moi j'aime bien Miterrand...
J'ai voté deux fois pour lui et j'ai lu
des livres le concernant.
Chacun ses têtes!
Info du Canard enchainé!
« Sarkozy girouette ! »
Nicolas Sarkozy refuserait-il vraiment
d’aller à Matignon ?
Même ses proches collaborateurs ne
savent pas à quoi s’en tenir.
Il faut dire que l’intéressé change
chaque jour de discours.
Le 3 mai, après la parution dans
« Le Monde » du procès-verbal de
l’audition du général Rondot, Sarkozy
s’exclame, en petit comité :
« Je ne peux pas rester dans une
gouvernement dirigé par quelqu’un
qui s’est comporté avec moi comme
un voyou, avec à ses côtés une ministre
de la Défense qui m’a tout caché.
Et, au-dessus de lui, un président
dans le coup ! »
Sarkozy faisait machine arrière
quarante-huit heures plus tard,
toujours devant son équipe :
« Matignon, cela ne se refuse pas. »
Entre les croassements du corbeau…
Un prétendant qui se prend pour
le nouveau phénix ,mais qui louvoie
comme une girouette.
Nous n’avons pas fini de subir
une politique du coq à l’âne !
oscar