Russie – Si on en croit une récente annonce de Vladimir Vassiliev, président de la commission de sécurité de la chambre basse du Parlement russe, les fonctionnaires ayant accès à des informations classées "secret d’Etat" devront bientôt se soumettre au détecteur de mensonges.
On a tous l’image d’un détecteur de mensonge, cette machine qui grâce à différents branchements sur notre corps permet de dire, de par des réactions physiologiques mesurées (exemple : rythme cardiaque) si l’on ment ou si l'on dit la vérité. Bientôt, certains fonctionnaires russes auront à se soumettre à ce genre d’appareil tous les deux ou trois ans, afin de vérifier que les documents classés confidentiels auxquels ils ont accès restent bien confidentiels.
De plus, l’appareil pourrait également servir lors d'entretiens d’embauche ou d’enquêtes internes d’après Belga. Pour le chef du département spécialisé dans les recherches psychophysiologiques, les résultats sont fiables à plus de 95%.
Zigonet