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    un peu de philosophie

    provence26
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    un peu de philosophie Empty un peu de philosophie

    Message par provence26 Lun 25 Jan - 16:29


    L'histoire d'un pot de mayonnaise et de café.

    Q uand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes…
    Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café !


    Il était
    une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot,
    commença à le remplir avec des balles de golf.


    > > Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI.
    > >
    > >
    > >
    > > Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les
    > > espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau
    > > OUI.
    > >
    > >
    > >
    > > Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit
    > > tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein. Les étudiants répondirent unanimement OUI.
    > >
    > >
    > >
    > > Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café
    > > combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…
    > >
    > >
    > >
    > > Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.
    > >
    > >
    > >
    > > Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies
    > > seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.
    > >
    > >
    > >
    > > Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc...
    > >
    > > Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.
    > >
    > >
    > >
    > > Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de
    > > golf. C'est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses,
    > > nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour
    > > votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du
    > > sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la
    cuisine… Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. établissez des priorités, le
    reste n'est que du sable. » Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur
    sourit et dit :« C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître
    bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »



    > > Envoie ce mail à toutes les personnes qui comptent, à moi y compris, comme ça je saurai que j'ai une place dans le pot
    > > de ton café.
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    un peu de philosophie Empty le ruban bleu méditer

    Message par provence26 Lun 25 Jan - 16:38





    Un qui a du courage , c'est le jour . Il se lève , quoi qu'il se soit passé la veille . L'imiter , après tout , c'est vivre tous les jours sans exception . Pas si mal .










    Le ruban bleu était inscrit :
    Vous n'êtes pas n'importe qui


    Dans une école de la ville de New York, un professeur décida de rendre hommage à ses élèves finissants du cours secondaire en soulignant l'importance que chacun d'eux avait à ses yeux. Suivant un rituel mis au point par Helice Bridges, de Del Mar en Californie, elle les faisait venir à l'avant de la classe, un seul élève à la fois.

    D'abord elle expliquait ce que l'élève lui avait apporté à elle, puis ce qu'il ou elle avait apporté à la classe. Ensuite, elle lui remettait un ruban bleu sur lequel était imprimée la phrase suivante, en lettres dorées: «Je ne suis pas n'importe qui.»

    Par la suite, le professeur décida d'en faire un travail collectif pour voir s'il était possible de reproduire le même effet sur une plus grande échelle. Elle donna trois rubans à chaque élève avec pour instructions d'aller dans la communauté et d'y perpétuer cette cérémonie de reconnaissance. Puis l'élève devait s'informer des résultats, à savoir qui avait reconnu l'importance de qui, et présenter un rapport devant la classe la semaine suivante.

    Un des élèves de la classe décida de rendre hommage au jeune cadre d'une compagnie voisine qui l'avait aidé dans sa planification de carrière. Il lui donna un ruban bleu et l'épingla sur sa chemise. Puis il lui donna deux autres rubans en disant: «Nous faisons un travail de classe sur la reconnaissance. Nous aimerions que tu remettes un ruban bleu à quelqu'un en témoignage de ta reconnaissance et puis, pour que cette cérémonie ne s'arrête pas là, que tu lui donnes cet autre ruban afin qu'à son tour il puisse rendre hommage à une troisième personne. Ensuite, s'il te plaît, reviens me voir et dis-moi ce qui s'est passé.»

    Plus tard ce jour-là le jeune cadre alla voir son patron, qui était reconnu, soit dit en passant, pour son mauvais caractère. Il le pria de s'asseoir et lui dit qu'il admirait grandement son génie créatif. Le patron sembla extrêmement surpris. Le jeune cadre lui demanda s'il voulait bien accepter ce ruban bleu en guise de présent et s'il lui donnait la permission de l'épingler sur lui. Étonné, son patron répondit: «Oui, bien sûr.»

    Le jeune cadre prit le ruban et l'épingla sur la veste de son patron juste au-dessus du coeur. En lui donnant l'autre ruban, il ajouta: «Voudriez-vous me rendre un service? Pourriez-vous prendre ce deuxième ruban et le remettre à quelqu'un d'autre pour lui rendre hommage? Le jeune garçon qui m'a donné ces rubans l'a fait dans le cadre d'un travail de classe et nous aimerions que cette cérémonie se perpétue et savoir comment elle affecte les gens.»

    Ce soir là, le patron alla trouver son garçon de 14 ans et le fit asseoir. «Une chose incroyable m'est arrivée aujourd'hui, dit-il. Un des jeunes cadres de la compagnie est entré dans mon bureau et m'a dit qu'il m'admirait parce que j'avais du génie. Tu t'imagines! Il pense que j'ai du génie! Puis il a épinglé ce ruban où on lit: «Je ne suis pas n'importe qui» sur ma veste, juste au dessus du coeur. Il m'a donné un autre ruban et m'a demandé de trouver quelqu'un à qui rendre hommage.

    En revenant à la maison ce soir, je me demandais à quelle personne je choisirais de remettre ce ruban et j'ai pensé à toi. Je veux te rendre hommage. J'ai des journées impossibles et quand j'arrive à la maison je ne m'occupe pas beaucoup de toi. Quelquefois je te dispute parce que tes notes ne sont pas assez bonnes ou parce que ta chambre est en désordre, mais ce soir, eh bien, je veux juste m'asseoir avec toi et te faire savoir que tu es quelqu'un d'important pour moi. À part ta mère, tu es la personne la plus importante dans ma vie. Tu es un garçon fantastique et je t'aime!»

    Le garçon étonné se mit à pleurer et à sangloter et il ne pouvait pas retenir ses larmes. Tout son corps tremblait. Il leva les yeux vers son père et dit entre deux sanglots: «J'avais prévu de me suicider demain, Papa, parce que je pensais que tu ne m'aimais pas. Maintenant, je n'ai plus besoin de le faire.»

    Auteure : Helice Bridges

      La date/heure actuelle est Lun 6 Mai - 14:11