provence a écrit:bonjour encore trés chaud ,je ne sort plus dans le jardin les moustiques attaquent
cette nuit pas pu m'endormir car une "immense" araignée est descendue par un fil
au milieu du lit grosse et noire !!!j'ai réveillé Pierre il a fini par l'attrapper
et la remettre dehors bbrrr j'ai eu une peur!!!pourtant d'habitude je ne craint pas
mais celle là était bien grosse lol,Pierre part le 14 pour le centre il va bien
moi remplis de douleurs mais rien a y faire c'est la fibromialgie
Extraits du livre de François Garagnon
« La beauté infiniment précieuse et fragile de l’Amour. »
Si la famille d’aujourd’hui est en crise, c’est quelle est le reflet d’un monde en crise où la culture de l’affrontement et de la division l’emporte sur la culture du dialogue et de l’union. Dans ce monde, en effet tout conspire à séparer ce qui est unit. Pour l’homme moderne, la notion de liberté apparaît plus séduisante que celle de l’engagement.
La famille n'apparaît plus systématiquement aujourd'hui comme le "milieu" qui façonne l'identité et délivre une armature morale et mentale, et cependant, elle reste le théâtre des modélisations de comportements. Et donc l'ossature de notre personnalité. Qu'on le veuille ou qu'on s'en défende, nos forces et nos fragilités irréductibles, notre attitude à l'égard de la vie, des autres et du monde, ne peuvent s'affranchir tout à fait de ce cadre de vie inaugural sur lequel s'est posé notre tout premier regard et qui a vu l'éclosion de nos premiers sentiments, de nos premiers chagrins et de nos premières joies. La famille repose sur une pédagogie de croissance. Chacun doit pouvoir s’y épanouir, chacun doit pouvoir « grandir », les parents tout autant que les enfants dans un climat de parfaite confiance et de bienveillance réciproque.
Ma Terre, elle était belle avant, ma terre. Un coup d'été, un coup d'hiver, un coup de printemps, un coup monotone, des manteaux de flocons qui se posaient dessus et puis des bourgeons qui s'ouvrent et puis qui sentent bon la vie. Elle était belle ma Terre,
des plantations qu'on aurait pu y faire sur ma Terre. On l'aurait nourrit ma Terre,
Il y avait bien l'océan qui venait se pointer de temps en temps pour l'orage, qui y verser son chagrin, mais ça c'était normal, le fruit du temps qui passe.
Puis maintenant c'est quoi ? des puits de pétrole dans le désert, voilà ce qu'elle est ma Terre. Elle se vend à qui veut payer, puis qui se laisse labourer jusqu'à ce que plus rien ne pousse jamais plus, ma Terre, jusqu'à ce que plus rien ne vive.
À toi, toi qui te bat pour rester belle.