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Fonctionnement de l'espace personnel.
Jean-pierre- Se défoule à fond
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- Message n°166
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
Superbe texte , Simone, je vois avec plaisir que tes soucis internet sont résolus.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°167
mes poésies
Le temps continue sa course vagabonde
Doucement je regarde passer les minutes
des secondes et ma vie s’écoule
Je regrette ce que je n’ai pas su
Je regrette ce que j’aurai voulu
Et le temps me pousse encore plus loin
Il m’entraîne dans sa course
Et je suis comme un pantin
Tantôt gesticulant
Criant et hurlant
Les sanglots dans la voix
Et je suis comme tout ces gens
Etranger, perdu dans la foule
Alors je souris
Alors je ris
Tantôt je fais une cabriole
Tantôt je suis funambule
J’essaie juste de garder les sens de ma vie
APPRIVOISER LA TENDRESSE
Les murs ne sont pas toujours au-dehors.
Dans tous les murs, il y a une lézarde,
dans toute lézarde, très vite, il y a un peu de terre,
dans cette terre la promesse d'un germe,
Dans ce germe fragile, il y a l'espoir d'une fleur
et dans cette fleur, la certitude ensoleillée d'un pétale de liberté.
Les murs les plus cachés sont souvent au-dedans
et dans ces murs aussi, il y a des lézardes...
laisse pousser les fleurs,
elles sont les germes de la vie à venir.
Jacques Salomé
(apprivoiser la tendresse)
SI TU NE PEUX ETRE
Si tu ne peux être pin majestueux au sommet du coteau
Alors sois petite broussaille dans la vallée
Au bord d'un ruisseau qui coule paisiblement
Ou sois buisson fleuri si tu ne peux être arbre énorme
Sois sentier paisible si tu ne peux être route
Sois petite étoile brillante si tu ne peux être soleil éclatant
Mais qui que tu sois et qui que tu deviennes
En tout sois le meilleur consciencieusement
Apprécies-le et sois reconnaissant
De ce que tu as et que tu deviens
Surtout fais-le bien et sois gentil
Saches que ce n'est point
Par la force que tu vaincras
Et que tu laisseras trace
Dans le souvenir de chacun.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°168
mes recettes
Canard laqué
Ingrédients
1 canard prêt à cuire d'environ 2 kg
Pour la laque :
1 c. à soupe de poudre aux cinq-épices
1/2 verre de miel liquide (ou mélasse ou sucre roux)
1/3 de verre de sauce de soja
5 c. à soupe de vinaigre blanc
2 c. à soupe de vermouth (ou porto) blanc
2 c. à soupe de fécule
2 gousses d'ail écrasées et finement hachées
10 g de levure vivante (ou levure chimique)
du colorant rouge (facultatif)
1 c. à café de sel
Préparation
Plongez le canard entier dans de l'eau bouillante 30 secondes puis lavez et essuyez l'intérieur et l'extérieur avec des serviettes en papier. En utilisant un poinçon, faites de multiples trous dans la peau et les muscles du canard.
Mélangez intimement dans un bol tous les éléments de la laque.
Mettez le canard dans un plat profond. Arrosez-le avec la laque, versez aussi un peu de laque dans sa cavité.
Laissez mariner le canard au moins 6 heures, au réfrigérateur de préférence, en le retournant et l'arrosant de laque de temps en temps.
Préchauffez le four th.6 (180°C).
Embrochez le canard et faites-le cuire en rôtissoire. Laissez cuire 2 heures, jusqu'à ce que la peau du canard devienne luisante et soit d'un brun assez foncé.
Après la première heure de cuisson, badigeonnez le canard toutes les 10 min avec le reste de la laque. Si la laque n'est pas assez sirupeuse à ce moment-là ou si elle est insuffisante, ajoutez-y un peu de miel afin de donner au canard un beau glaçage.
Réglez le four th.8 (240°C), 30 min avant la fin de la cuisson.
Servez chaud ou froid.
==
Poulet à l'ail
Ingrédients
1 poulet coupé en 6 morceaux
3 têtes d'ail
1 citron
½ bouquet de persil
3 c. à soupe d'huile
sel, poivre
Préparation
Préchauffez le four à 180°C (th.6). Salez et poivrez les morceaux de poulet.
Disposez-les dans un plat à four huilé. Arrosez d'un filet d'huile d'olive. Epluchez 3 têtes d'ail, ôtez le germe et coupez-les en deux. Ajoutez-les au poulet.
Enfournez pendant 1 heure.
Prélevez les zestes du citron ; coupez-les en lanières et mélangez-les avec le persil ciselé.
En cours de cuisson, arrosez régulièrement les morceaux de poulet du jus de citron allongé avec un peu d'eau.
Servez bien chaud dans le plat à cuisson parsemé du reste du zeste et de persil.
==
Ballotines de dinde, bardées au lard et pruneaux et sa sauce
Ingrédients
4 blancs de dinde (ou poulet)
2 échalotes
une vingtaine de pruneaux dénoyautés
16 tranches de lard
un peu de vin blanc (pour déglacer)
20 cl de crème liquide
Préparation
Sur le plan de travail, étalez un film alimentaire et déposez-y 4 tranches de lard puis le blanc de dinde bien à plat (si le morceaux est trop épais, coupez-le un peu en deux).
Recouvrez avec du papier sulfurisé et aplatissez le blanc de dinde avec un rouleau à pâtisserie pour l'amincir puis retirez le papier sulfurisé
Veillez à couper les tranches de lard du côté où vous commencerez à rouler la ballotine.
Déposez sur le centre les pruneaux coupés en deux, parsemez d'un peu d'échalote ciselée, salez, poivrez
Roulez en serrant bien à l'aide du film alimentaire et fermez les extrémités.
Faites cuire à la vapeur pendant 15 min (si vous n'avez pas de cuit vapeur, faites-les pocher dans de l'eau bouillante pendant 20 min) puis réservez.
Pendant ce temps, faites la sauce. Émincez les échalotes et faites-les revenir à la poêle.
Déglacez au vin blanc sec et laissez-le s'évaporer.
Coupez le reste de lard en petits morceaux et ajoutez-le dans la poêle, ajoutez ensuite les reste de pruneaux coupés en petits morceaux.
Versez la crème liquide dans la poêle et laissez à peine frémir. Vérifiez l'assaisonnement et réservez.
Dans une autre poêle et après avoir retiré le film alimentaire, faites dorer les ballotines de dinde pour leur faire prendre une jolie couleur.
Coupez les ballotines en tranches épaisses et dressez-les dans des assiettes avec la sauce.
Dégustez avec des pâtes fraîches, du riz ou des pommes vapeur.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°169
poésies choisies pour vous
Les heures sont des fleurs l’une après l’autre écloses
Dans l’éternel hymen de la nuit et du jour ;
Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses
Et ne les donner qu’à l’amour.
Ainsi que de l’éclair, rien ne reste de l’heure,
Qu’au néant destructeur le temps vient de donner ;
Dans son rapide vol embrassez la meilleure,
Toujours celle qui va sonner.
Et retenez-la bien au gré de votre envie,
Comme le seul instant que votre âme rêva ;
Comme si le bonheur de la plus longue vie
Était dans l’heure qui s’en va.
Vous trouverez toujours, depuis l’heure première
Jusqu’à l’heure de nuit qui parle douze fois,
Les vignes, sur les monts, inondés de lumière,
Les myrtes à l’ombre des bois.
Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ;
Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé,
Rajeunit l’autre sang qui vieillit dans vos veines
Et donne l’oubli du passé.
Que l’heure de l’amour d’une autre soit suivie,
Savourez le regard qui vient de la beauté ;
Être seul, c’est la mort ! Être deux, c’est la vie !
L’amour c’est l’immortalité !
Gérard de Nerval
Saisir L'instant.
Saisir l’instant tel une fleur
Qu’on insère entre deux feuillets
Et rien n’existe avant après
Dans la suite infinie des heures.
Saisir l’instant.
Saisir l’instant. S’y réfugier.
Et s’en repaître. En rêver.
À cette épave s’accrocher.
Le mettre à l’éternel présent.
Saisir l’instant.
Saisir l’instant. Construire un monde.
Se répéter que lui seul compte
Et que le reste est complément.
S’en nourrir inlassablement.
Saisir l’instant.
Saisir l’instant tel un bouquet
Et de sa fraîcheur s’imprégner.
Et de ses couleurs se gaver.
Ah ! combien riche alors j’étais
Saisir l’instant.
Saisir l’instant à peine né
Et le bercer comme un enfant.
A quel moment ai-je cessé .
Pourquoi ne puis-je…
Esther Granek
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°170
être saisonnier
Être saisonnier
Il faisait si doux encore hier
Quand aujourd’hui s’approche l’hiver
Cette saison, quoique peu banale
N’offre pourtant rien d’original
Mais c’est une constante chez moi
J’aime toutes les saisons, une à la fois
J’y demeure toujours attaché
Je dirais même très saisonnier
J’adore bien sur, quand tout est calme
Mais chacune des saisons à son charme
Nos hivers, les feux de cheminée
Puis nos enfants, tous enneigés
Mais j’ai hâte que le printemps vienne
Qu’enfin, un bel été nous revienne
L’automne est pourtant de toute beauté
Y’a tellement de belles choses à regarder
Mais bientôt ici, ce sera l’hiver
Plus rien, ne sera pareil à hier
Il fera alors noir plus tôt
On devra s’habiller comme il faut
Tous nos feuillus seront dénudés
Tous nos cours d’eau seront glacés
Mais peut-être, que sur mon peuplier
Une belle feuille sera restée accrochée
Texte Claude Marcel Breault
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°171
textes a méditer
Pour vivre à deux
Pour vivre à deux
longtemps.... !!!.... longtemps..... !!!...longtemps.... !!!.... longtemps..... !!!
Heureux et Heureuse !
Ne pas se croire trop vieux pour se tenir la main.
Ne pas oublier de se dire " je t'aime " une fois par jour....
Ne jamais s'endormir en étant fâché
Former un cercle d'amour qui englobe toute la famille.
Cultiver son amour en continuant à se faire la cour .
Pratiquer le dévouement réciproque avec plaisir.
Manifester sa gratitude par des petites attentions.
Être capable de pardonner et d'oublier.
Faire une place aux choses de l'esprit.
Rechercher en commun le bien, le beau, le vrai.
Ne pas demander à l'autre d'être un ange.
Ne pas s'attendre à la perfection mais y tendre.
Cultiver la souplesse, la patience.
Cultiver la compréhension et le sens de l'humour.
Se rappeler qu'il ne s'agit pas seulement de tomber
sur le bon numéro mais de savoir aussi être le bon numéro...
La force de l'Amour...
Avez-vous remarqué la force de l'amour? Une journée sombre peut devenir dans un instant une journée de soleil.
Lorsque l'on prend un peu de temps pour téléphoner à un (e) ami (e) tout simplement pour le plaisir de lui dire que l'on pense à lui ou à elle et lui dire en de simples mots notre attachement. Tout devient magique!
Oui, il m'arrive très souvent d'avoir des petits coups de coeur qui font toute la différence dans ma journée!
Me lever le matin et remercier le Ciel d'avoir une autre belle journée à vivre! De voir le plus souvent possible le bon côté des choses.
J'ai vécu des moments très difficiles...des deuils, de la maladie mais je crois que c'est ces moments-là qui nous font apprécier la beauté de la vie.
Contradictoire me direz-vous? Je ne crois pas! Lorsque l'on a jamais connu la souffrance intérieure on ne peut sentir aussi profondément les petits bonheurs de la vie!
En cette journée, je viens tout simplement remercier pour la vie qui m'habite et le privilège d'aimer de toutes mes forces et sans condition et sans attente en retour!
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°172
mes recettes
Wok de dinde aux brocolis
Plat principal - Viandes
Facile :
Bon marché :
Origine du plat : Chine
Type de cuisson : Plaques
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 10 minutes
Ingrédients (4 Personnes) :
600 gr de blanc de dinde
1 brocoli d’environ 300 gr
2 carottes
1 botte d’oignons nouveaux
200 gr de châtaignes en boite
2 c. à soupe d’huile de tournesol
5 c. à soupe de sauce wok Sukiyaki Kikkoman
2 c. à soupe de graines de sésame grillées
Préparation de la recette :
Emincez le blanc de dinde.
Prélevez les têtes de brocolis et nettoyez-les. Epluchez les carottes les coupez-les en fines julienne. Epluchez les oignons et coupez-les en rondelles. Egouttez les châtaignes.
Faites chauffer l’huile dans le wok. Plongez-y la viande et saisissez-la. Ajoutez les légumes et faites les cuire environ 5-10 minutes, tout en remuant. Ajoutez les châtaignes, faites chauffer brièvement et assaisonnez avec la sauce wok Sukiyaki.
Servez parsemé de graines de sésame, accompagné de riz.
==
Papillote de filet mignon aux petits légumes
Plat principal
Facile :
Moyen :
Origine du plat : Europe
Type de cuisson : Four
Temps de préparation : 10 minutes
Temps de cuisson : 45 minutes
Ingrédients (4 Personnes) :
- 2 filets mignons (compter 300 à 400 g par filet mignon)
- 2 carottes
- 2 tomates
- 2 oignons
- 1 gousse d'ail
- 1/2 poivron
- thym, laurier
- 1 filet d'huile d'olive
- sel et poivre
- papier sulfurisé ou aluminium
Préparation de la recette :
Découper 2 grandes feuilles de papier sulfurisé (1 feuille par filet mignon). Ne pas hésiter sur la longueur de la feuille... Cela évitera bien des soucis au moment de fermer la papillote!!
Placer un filet mignon au centre de chaque feuille.
Eplucher les oignons et les couper en 4, idem pour les carottes. Découper également le poivron et les tomates.
Placer sur chacun des filets mignon : 1 morceau de tomate, 1 morceau d'oignon, 1 morceau de poivron, 1 morceau de carotte... Alterner jusqu'à ce qu'il ne reste plus de place sur le filet mignon.
Rajouter l'ail, le laurier et le thym, puis finir avec un filet d'huile d'olive; poivrer et saler.
Fermer les papillotes et les disposer dans un plat.
Enfourner 45 min et vérifier que la viande est bien cuite avec une pointe de couteau... Si la viande est encore rosée, remettre 10 min.
Présenter dans le plat de cuisson en prenant soin d'enlever le papier sulfurisé ou aluminium. Mais surtout, laisser le jus avec la viande et les légumes!
baraquin- Râleur
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- Message n°173
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
bon appétit !
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°174
il était une fois !!!
Félicia, la fée sans pouvoir
Par un bel après midi d’été un petit lutin malin se baladait tout près d’une forêt enchantée. Il souriait à la vie en écoutant les oiseaux chantés, lorsqu’il entendit un gémissement.
C’était Félicia, une petite fée, qui pleurait à chaudes larmes. Il s’approcha :
- « Mais pourquoi pleures-tu petite fée ? », demanda-t-il.
- « Je suis désespérée, j’ai perdue tous mes pouvoirs magiques », dit la Félicia en sanglotant.
- « Comment est-ce arrivé ? »
- « Je n’en sais rien, en fait, ce matin un Troll m’a demandé d’exhausser l’un de ses vœux et je n’ai pas pu le réaliser ».
- « Et quel était ce vœu ? », dit le lutin.
- Il voulait devenir le Troll le plus puissant et le plus riche de la montagne noire, et au moment d’exhausser son vœu rien ne s’est passé », dit la petite se mettant à pleurer de plus belle.
- « Ne t’inquiète pas petite Fée. Tu as de la chance, nous sommes à l’orée de la Forêt enchantée. On dit qu’une balade dans ces bois éclaire les esprits. Nous allons y entrer et essayer de trouver pourquoi tu as perdu tes pouvoirs. »
Félicia et le lutin malin entrèrent dans la forêt. Après quelques minutes de marches, ils furent interpellés par des craquements et une voix très grave.
- « Bonjour les amis », dit un grand chêne.
- « Bonjour Monsieur le chêne », répondirent-ils.
- « Que faites vous ici ? »
- « Je suis à la recherche de mes pouvoirs », dit timidement Félicia.
- « Pour trouver tes pouvoirs tu dois savoir d’où tu viens? » dit le grand chêne avant de redevenir un simple bout de bois.
Les deux amis restèrent un moment sans parler et puis le lutin malin demanda :
- « Eh bien Félicia ! Répond à la question. D’où viens-tu ? »
Félicia commença doucement :
- « Je viens des plaines dorées situées de l’autre côté de la montagne noire. Là d’où je viens les gens s’entraident, nous partageons nos biens, nous vivons en communauté. Mes parents sont des êtres formidables qui m’ont donné tout l’amour dont j’avais besoin. »
Ils marchaient en direction d’un lac où ils s’arrêtèrent pour continuer la conversation.
- « Tu as énormément de chance, Félicia d’avoir eu une vie si remplie d’amour », dit le lutin.
- « Oui tu as bien raison », dit une voix venue du fond du lac.
- « Mais qui est-ce? », s’étonna Félicia.
- « C’est moi la dame du Lac. »
Les deux amis se penchèrent au dessus de l’eau et virent un visage qui leur souriait.
- « Bonjour les amis, que faites-vous ici ? »
- « Je suis à la recherche de mes pouvoirs », répéta Félicia.- « Pour trouver tes pouvoirs tu dois savoir qui tu es? » dit la voix du lac.
Félicia qui regardait toujours le fond du lac vit peu à peu le visage de la dame disparaître pour laisser place à sa propre image. Le lutin malin qui prenait plaisir à connaître sa jeune amie, lui demanda :
- « C’est vrai qui es-tu ? »
- « Je suis une fée qui en temps normal a des pouvoirs magiques. »
- « Oui mais encore, Félicia, qu’est ce qui te caractérise, quelles sont tes qualités et tes défauts », demanda le lutin.
- « Je suis prévenante, j’aime bien rendre service, aider les gens les rendre heureux. Je manque parfois de confiance en moi »
Ils arrivaient à la sortie du bois, Félicia découragée dit :
« Nous voilà à la sortie du bois et je n’ai toujours pas retrouvés mes pouvoirs.
A ce moment le vent souffla :
- « Que cherches-tu ? Pour trouver la réponse écoute ton cœur. »
Le lutin malin, lui dit :
- « Répond à la question que te souffle le vent. »
- « Je chercher à retrouver mes pouvoirs. »
- « Mais pourquoi les cherches-tu ? », insista le lutin malin.
- « Pour pouvoir aider les gens … »
- « Eh bien voilà, jolie Félicia, je crois moi que tu n’as pas perdu tes pouvoirs qu’ils ont toujours été en toi ! »
- « Ah bon mais comment se fait-il, que je n’ai pas pu aider le troll alors ? »
- « N’as-tu pas compris chère fée, Ton don dois servir à aider les autres à leur apporter bonheur et amour. Le Troll n’avait tout simplement pas besoin de toute cette puissance et de tout cet argent. »
- « Je te remercie, mon cher lutin malin, sans toi, je n’aurais pas compris. Tu sais petit lutin, toi aussi tu as un don, tu m’as aidé à retrouver mes pouvoirs magiques.
Les nouveaux amis sortirent de la forêt main dans la main, ils savaient maintenant que l’essentiel était de croire en soi pour que tout deviennent possible.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°175
poésies choisies pour vous
L'ENNEMI.
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.
Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
- Ô douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
Je vois se dérouler des rivages heureux
Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;
Une île paresseuse où la nature donne
Des arbres singuliers et des fruits savoureux;
Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne.
Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
Je vois un port rempli de voiles et de mâts
Encor tout fatigués par la vague marine,
Pendant que le parfum des verts tamariniers,
Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,
Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.
Charles Baudelaire
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- Message n°176
textes a méditer
Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d’émotions,
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés.
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu’il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés.
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !
Agis tout de suite !
Pablo Neruda
===
Etre soi même
Des gens uniques, de par le monde,
Il en naît à chaque seconde.
Chacun de nous porte en soi
Une chose que les autres n'ont pas.
Les défauts et les qualités
Font un cocktail à mélanger
Pour obtenir ce petit goût
Celui qui n'appartient qu'à nous.
Les êtres humains sont si divers
Qu'il y a toujours sur la terre
Quelqu'un qui trouvera en nous
Ce qui lui manque par dessus tout.
Certains recherchent leurs contraires,
D'autres, c'est leurs semblables qu'ils préfèrent
Mais l'important c'est d'arriver
A s'accepter tel que l'on est.
Et chercher à s'améliorer
N'est pas forcément tout changer.
Quand on commence à s'apprécier,
L'entourage l'a vite remarqué,
Il essaie de savoir pourquoi
On se sent tellement sûr de soi.
Et tous ces gens qu'on admirait
Finissent par nous envier.
Car eux aussi, ils cherchent ailleurs
Ce qu'ils possèdent à l'intérieur.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°177
mes citations
CITATIONS D'EINSTEIN
"Nous aurons le destin que nous aurons mérité."
Albert Einstein
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Albert Einstein
"La façon dont on trouve n’est pas celle dont on prouve."
Albert Einstein
"Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c'est que vous ne le comprenez pas complètement. "
"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité."
"Nous aurons le destin que nous aurons mérité."
"La vraie valeur d'un homme se détermine d'abord en examinant dans quelle mesure et dans quel sens il est parvenu à se libérer du Moi. "
"La possession de merveilleux moyens de production n'a pas apporté la liberté, mais le souci et la famine. "
"La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le mystère des choses."
"La joie de regarder et de comprendre est le plus beau cadeau de la nature. "
"La folie est de toujours se comporter de la même manière et de s’attendre à un résultat différent. "
"Je n’ai pas échoué, j’ai trouvé dix mille moyens qui ne fonctionnent pas. "
"Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. "
"En apparence, la vie n'a aucun sens, et pourtant, il est impossible qu'il n'y en ait pas un !"
"Dieu est subtil, mais il n'est pas malveillant."
"C’est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu’il en a reçu."
"Ce qui m'intéresse vraiment c'est de savoir si Dieu avait un quelconque choix en créant le monde. "
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- Message n°178
mes poésies
La gentillesse ...
Quelquefois un sourire peut réchauffer le cœur,
Une simple attention ressemble à du bonheur :
Un bonjour amical croisé sur son chemin,
Un regard différent, une poignée de main.
Une porte tenue à celui qui chargé,
Encombré de paquets se trouve embarrassé,
Une place cédée à la personne âgée,
Règles de politesse trop souvent oubliées.
Pénétrer un instant les rives inconnues
De l’aveugle hésitant à traverser la rue.
Prendre un peu de son temps pour aider, rassurer,
Dans la peine de l’autre, se sentir exister.
Au lieu de jalouser, au lieu de critiquer,
Ressentir en son cœur seulement l’amitié.
A celui dans son coin, si triste et replié,
Savoir tendre la main pour qu’il se sente aimé.
On a tous des soucis qui nous minent la vie,
Et des matins frileux emplis de nostalgie…
Garder au fond du cœur un trop plein de douceur
Pour ne pas oublier qu’existe le bonheur.
Je vois autour de moi jalousie et envie,
Médisance et ragots sont le sel de la vie.
Je vois autour de moi violences et attentats,
Un monde haineux, méchant que je ne comprends pas…
Je vois autour de moi des hommes s’agiter,
Se perdre en discours sur la guerre et la paix.
Je vois autour de moi l’amour se déchirer.
Il est si compliqué d’aimer et d’être aimé.
Je vois autour de moi tant de difficultés,
De misères, tristesses, de sanglots usés.
Je vois autour de moi le regard d’un enfant
Qui se demande pourquoi il n’aura pas le temps.
Je vois autour de moi tant de méchancetés,
Tant de gens qui n’ont plus le sens du mot respect.
Je vois autour de moi le règne du pouvoir,
Le règne de l’argent, le règne du dollar.
Je vois autour de moi la misère, la guerre…
Des regards d’enfants qui pleurent, désespèrent.
Je vois autour de moi l’amour si piétiné
Que mon cœur ne sait plus ce qui au fond est vrai.
Je regarde le ciel parsemé d’étoiles…
J’écoute le vent qui souffle dans les voiles.
Je ferme les yeux et la mer est devant moi
Qui s’étend à l’horizon…Mon coeur est en émoi
C’est un rêve un peu fou qui habite mon cœur,
Un rêve d’absolu, un rêve de bonheur,
Et face au quotidien et à ses coups du sort
Mes illusions, mes rêves sont pourtant les plus forts.
Quand la nuit est tombée, face au ciel étoilé,
Je sais la solitude qui étreint les soirées,
La maladie, la mort, compagnon de nos vies,
Mais j’ai au fond de moi des rêves d’infini.
Quand le pré le matin se pare de rosée,
Que le ciel doucement se teinte d’oranger,
J’ai envie d’espérer que l’on peut être deux
J’ai besoin de croire que l’on peut être heureux .
Si j’écoute le vent, il me parle d’espoir,
Et la pluie doucement me berce dans la noir.
Je veux croire en demain, en la vie, en l’amour
En un chemin tout droit, fleuri et sans détour
nicou- Râleur
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- Message n°179
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
merci provence...
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°180
mes réflexions
ENCORE DES RÉFLEXIONS
attribuées au DALAÏ LAMA ..
La compassion est ma seule religion.
Passez un peu de temps seul chaque jour.
Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.
C'est dans son coeur qu'il faut construire la paix.
Il n'importe guère qu'un être soit croyant ou non: il est beaucoup plus important qu'il soit bon.
Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre cerveau et notre coeur sont nos temples.
La faculté de se mettre dans la peau des autres et de réfléchir à la manière dont on agirait à leur place est très utile si on veut apprendre à aimer quelqu'un.
Soyez tendre avec la terre.
Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous.
Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
Souvenez-vous que de ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
Ne laissez pas une petit dispute meurtrir une grande amitié.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°181
ma poésie
Dentelliére.
Avec application,tendue sur le carreau,
Se tisse la dentelle,la dentelle du bonheur.
De ses fils délicats,la vie est le terreau,
Ces fils entrelaçés qui en forment les fleurs.
D'Instants précieux et rares,valsent les fuseaux,
Se dessinent les festons de nos plus belles heures..
........En motifs ajourés et,
Ces jours si mornes,
Ces jours si gris,
Ces jours si tristes,
Ces jours si longts,
N'ont de réalité qu'entre les doux instants!
Se brode au fil du temps,la passementerie des jours,
Petits riens,fils soyeux,qui font le coeur battant,
Chanvres légers mais forts,croisés sur le tambour,
Luis rustiques,infrangibles,grains de joie palpitants
Créent ce tissu précieux,que je garde toujours,
Me protégeant des maux,leurs assauts écartant.
Je suis la Dentelliére,Dentelliére du bonheur.
P.DE PAPIER.
Pendant des siécles,anonymement,la dentelliére à produit ce tissu ajouré composé de fil enlaçé.
Assise sur le pas de sa porte ou éclairée par une bougie au coin du feu,inlassablement,ses doigts font valser les fuseaux.
Les fleurs,les rosaces,les festons naissent comme par magie de cette danse éffrénée.
Aujourd'hui de nombreuses mains reprennent les fuseaux et réapprenent les gestes qui leur transmettent les anciennes.
nicou- Râleur
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- Message n°182
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
Merci Provence...
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°183
mes poésies
Pour que vive notre liberté .
Pour que la jeunesse puisse s'exprimer .
Pour que la voix de la raison
se déclare en chansons .
Pour que le bonheur entre dans les maisons .
Voir tous ces jeunes gens
se prendre la main avec passion .
Fait rêver bien des enfants ,et justifie avec raison .
Le pouvoir que réclame
toute cette belle jeunesse en action .
Pour montrer qu'ils existent , c'est leur mission .
Eux aussi à leurs maniéres ,
veulent nous montrer la joie .
Que l'on peut trouver sur terre
avec un peu de foi en soi .
L'AMOUR et non pas la guerre ,
que l'on peut se déclarer en chansons .
Et vivre sur les ondes ,
cette belle expression du bonheur enfin retrouvé .
Vive la JEUNESSE ...! Vive LA LIBERTE
Il est là, souriant, au creux de mes deux mains,
Si joli, malicieux, avec un bon sourire.
Comment est-il venu, ce malicieux lutin,
Que me veut-il enfin, va-t'il bien me le dire ?
Je t'apporte la paix, du bonheur, de la joie,
Un ciel serein aussi pour éclairer le monde.
Rendre les gens heureux, voici quelle est ma loi,
Puis, il a rigolé de toute sa faconde.
Le réveil a sonné, et le temps était gris,
Mais mon coeur tout joyeux, étincelait de rose,
Et sous mon parapluie, quand je leur ai souri,
Je les ai étonnés, les nuages moroses !
Et ayant raconté, que mon soleil a lui
D'un rêve merveilleux, on me déclara folle,
Peut-être, mais depuis, quand s'allume la nuit,
Je ferme la fenêtre, de peur qu'il ne s'envole
===
Laisse ta lumiére briller si joyeusement que les autres pourront voir leur chemin pour sortir de leur obscurité..............
(Tony verton
Etoile vagabonde
Est ce que tu entend parfois
Le cœur qui se fond
Lorsque la nuit vient
Le néant lui fait peur
Et le temps l'assassine
On en ressens la douleur
Dans une danse divine
Où la rose sauvage
se laisse aller
Elle défait son corsage
Sur le cœur du champs de blé
On y rencontre l'amour
Dans un chemin égaré
On le croit pour toujours
Mais le vent nous murmure ses secrets
Et la nuit m'abandonne
Comme elle est venue la chercher
Et déjà l'aube cogne
A travers son âme blessé
Dans ces ombres qui dansent
Par le feu des silences
Mais tonnerre de flamme
Brûle encore de passion
Pour ce ciel calme
Qui cause toute sa déraison !
Tony Verton
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°184
mes poésies
L'aube est moins claire...
L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur ;
Le soir brumeux ternit les astres de l'azur.
Les longs jours sont passés ; les mois charmants finissent.
Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent !
Comme le temps s'en va d'un pas précipité !
Il semble que nos yeux, qu'éblouissait l'été,
Ont à peine eu le temps de voir les feuilles vertes.
Pour qui vit comme moi les fenêtres ouvertes,
L'automne est triste avec sa bise et son brouillard,
Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part.
Adieu, dit cette voix qui dans notre âme pleure,
Adieu, ciel bleu ! beau ciel qu'un souffle tiède effleure !
Voluptés du grand air, bruit d'ailes dans les bois,
Promenades, ravins pleins de lointaines voix,
Fleurs, bonheur innocent des âmes apaisées,
Adieu, rayonnements ! aubes ! chansons ! rosées !
Puis tout bas on ajoute : ô jours bénis et doux !
Hélas ! vous reviendrez ! me retrouverez-vous ?
Victor Hugo (1802 - 1885)
Les promenades d'automne sont si belles dans la nature...
A chaque pas, comme un tableau, s'offre à nos yeux de
merveilleuses couleurs et sous nos pas crissent les feuilles
finissent là leur vie.
===========
Forêt silencieuse, aimable solitude,
Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré !
Dans vos sombres détours, en rêvant égaré,
J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude !
Prestiges de mon coeur ! je crois voir s'exhaler
... Des arbres, des gazons une douce tristesse :
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse,
Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière
Ici, loin des humains !... Au bruit de ces ruisseaux,
Sur un tapis de fleurs, sur l'herbe printanière,
Qu'ignoré je sommeille à l'ombre des ormeaux !
Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ;
Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit,
Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit,
Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles.
Forêts, dans vos abris gardez mes voeux offerts !
A quel amant jamais serez-vous aussi chères ?
D'autres vous rediront des amours étrangères ;
Moi de vos charmes seuls j'entretiens les déserts
de François-René de CHATEAUBRIAND recueil : Tableaux de la nature
La création du monde Le livre de Job
Où est-ce que tu étais quand je fondai la terre?
Dis-le-moi puisque tu es si savant!
Qui en fixa les mesures, le saurais-tu?
Ou qui tendit sur elle le cordeau?
En quoi s'immergent ses piliers,
et qui donc posa sa pierre d'angle
tandis-que les étoiles du matin chantaient en choeur
et que tous les Fils de Dieu criaient hourra?
Quelqu'un ferma deux battants sur l'Océan
quand il jaillissait du sein maternel,
quand je lui donnais les brumes pour se vêtir,
et le langeais de nuées sombres.
J'ai brisé son élan par mon décret,
j'ai vérrouillé les deux battants
et j'ai dit : " Tu viendras jusqu'ici, pas plus loin;
là s'arrêtera l'insolence de tes flots!".
As-tu, un seul de tes jours, commandé au matin,
et assigné à l'aurore son poste,
pour qu'elle saisisse la Terre par ses bords?
La Terre alors prend forme
comme l'argile sous le sceau,
et tout surgit,
chamarré.
Le livre de Job 38, 4 - 18
Peu importe les croyances de chacun, ce texte est un magnifique hommage à la beauté de notre Terre.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°185
poésies choisies pour vous
dissous le flou de ce brouillard et montre moi ce que tu veux cacher
révèle-moi tes cicatrices et chacune de tes blessures, afin que je sache
il y a un air de mystère qui t'entoure et je ressens des frissons,
une appréhension tout contre ma peau, même si nous sommes éloignés
je peux à peine retenir mon pouls...
alors dis- mois ce que tu dissimules derrière ce triste regard
quelles sont tes envies, tes désirs, donne moi tes tourments
je désire simplement explorer et discerner les affres de ton coeur
je veux traverser les frontières de ta méfiance afin de mieux te connaître
je peux à peine sentir cette étincelle...
ouvres ton regard, vois ton horizon, découvre les méandres de la vie
nourris-toi de ces plaisirs, afin qu'un sourire accentue ta fossette
et que ton visage s'illumine, passe la main dans tes cheveux
sens toi vivre ces instants d'une autre naissance qui t'appartiennent
je ne peux retenir mes larmes
Rendez-moi le silence
De ces matins avant la vie
Un peu des évidences
Que me donnait l'envie
Rendez-moi la confiance
Des souvenirs sans nostalgie
Un peu de l'innocence
Qu'il nous faut quand on prie
Rendez-moi le silence
De nos regards tendres la nuit
Et puis l'indécence
De nos corps quand ils crient
Rendez-moi la violence
De mes sentiments de jadis
Et aussi l'insolence
De ce qui n'est jamais dit
Rendez-moi l'insolence
D'un sage qui défie les rois
Et puis l'impertinence
De l'enfant qui ne sait pas
Et que vive la violence
Que je garde tout au fond de moi
Cette trouble inconscience
D'avant quand je ne savais pas
Rendez-moi le silence
Et de l'amour et de l'oubli
Et que cesse la souffrance
Qui fait de moi qui je suis
Jean-pierre- Se défoule à fond
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- Message n°186
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
Superbes tes images et tes textes, Simone.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°187
mes recettes
Chevreuil aux cerises et à l'orange
Ingrédients
1.5 kg de selle de chevreuil
100 g de lard
500 g de griottes
1 orange
1 c. à café de thym en poudre
3 baies de genièvre
40 g de beurre
1 c. à soupe de fécule de pommes de terre
37.5 cl de fond de viande
25 cl de liqueur de kirsch
sel, poivre du moulin
Accord vin
- Un Buzet (Rouge, Sud Ouest)
- Un Cassis (Blanc, Provence)
- Un Coteaux du languedoc (Rouge, Languedoc Roussillon)
Préparation
Piquez la viande avec les baies de genièvre.
Saupoudrez-la de thym, puis laissez-la reposer 10 minutes.
Retirez les baies de genièvre et le thym. Salez et poivrez la viande.
Faites dorer la viande dans le beurre, dans un grand plat allant au four. Recouvrez-la ensuite avec les tranches de lard et faites-la cuire dans le four préchauffé à 220°C (th. 7) pendant 35 à 45 minutes.
Au bout de 10 minutes, puis toutes les 8 minutes, arrosez la viande avec le bouillon.
Au bout de 30 minutes, retirez le lard et vérifiez la cuisson : la chair doit être souple, mais un peu rose.
Égouttez les cerises. Délayez la fécule dans leur jus et portez à ébullition, de façon à obtenir une sauce bien lisse.
Mettez les cerises dans la sauce. Ajoutez le kirsch. Incorporez le tout au jus de cuisson de la viande.
Lorsque la viande est cuite, laissez-la reposer 15 minutes dans le four, feu éteint et porte entre-ouverte.
Émincez la viande en tranches et dressez-la dans un plat de service chaud. Garnissez-la avec des tranches d'orange. Servez la sauce aux cerises à part.
===
Civet de lièvre automnal.
Ingrédients
lièvre désossé : 1
Pour la marinade:
côtes du Rhône : 2 bouteilles
vinaigre de vin : 0.5 dl
carotte : 2
oignon : 2
persil
thym, laurier
poivre en grains
Pour la garniture :
poitrine fumée : 250 g
champignons de Paris : 200 g
petits oignons : 200 g
marrons cuits : 200 g
figue : 6
airelles : 1 tasse
cognac : 1 dl
huile : 1 dl
beurre : 50 g
concentré de tomate : 1 c. à soupe
farine : 1 c. à soupe
sel, poivre
Accord vin
- Un Bordeaux (Blanc, Bordelais)
- Un Morgon (Rouge, Beaujolais)
- Un Saint-Nicolas de Bourgueil (Rouge, Val de Loire)
- Un Saint-pourçain (Rouge, Val de Loire)
Préparation
Mettez les morceaux de lièvre dans un plat avec les carottes et les oignons en rondelles les aromates le poivre; arrosez de vin et de vinaigre, laissez macérer au frais 24 heures.
Retirez les morceaux de lièvre à l'écumoire. Epongez, faites revenir avec la moitié de l'huile dans une grande cocotte, ajoutez la garniture de la marinade, laissez prendre une belle coloration. Arrosez de cognac et flambez.
Saupoudrez de farine mélangez et laissez cuire quelques minutes avant d'ajouter le vin de la marinade, le concentré de tomate; salez, poivrez.
Laissez cuire à couvert, 1 heure 15 environ.
Préparez la garniture : faites revenir à l'huile la poitrine fumée coupée en lardons, ajoutez les champignons coupés en 4.
Mettez les oignons avec la moitié du beurre dans une sauteuse, couvrez d'eau et laissez à feu doux jusqu'à évaporation du liquide.
Réchauffez les figues et les marrons avec le reste de beurre.
Retirez les morceaux de lièvre, tenez-les au chaud. Filtrez le vin de cuisson, laissez réduire, ajoutez les airelles.
Servez le civet bien chaud avec sa garniture de lardons, champignons oignons figues, marrons et la sauce aux airelles.
===
Boureks de perdreau aux coings et au foie gras
Ingrédients
1 petit perdreau (250 g)
1 oignon
1cube légume
quelques branches de thym
1/2 coing
50 g + 40 g à soupe de sucre
1 L d’eau
30 g de beurre
60 g de foie gras
1 pack de filo
sucre glace
Préparation
Préchauffez le four th. 6 (180°C).
Bien nettoyer le perdreau. Faites-le revenir avec un peu d’huile pour bien le faire dorer. Ajoutez l’oignon haché et le thym puis recouvrez de bouillon. Laissez cuire à couvert environ 30 minutes.
Détachez la chair du perdreau puis remettez-la avec les oignons. Laissez cuire jusqu’à ce le liquide s’évapore. Rectifiez l’assaisonnement si besoin.
Pelez le coing et coupez-le en tout petits cubes. Portez l’eau à ébullition, ajoutez 50 g de sucre et le coing en morceau. Laissez cuire environ 15 minutes.
Égouttez les cubes de coings à la passoire. Puis faites-les revenir la poêle avec le beurre et 40 g de sucre. Laissez caraméliser, puis éteingnez le feu.
Coupez le foie gras en petits cubes.
Coupez vos feuilles de filo en rectangles.
Étalez une première feuille de filo, passez un peu de beurre fondu au pinceau, et mettez une seconde feuille.
Distribuez un peu de préparation de perdreau, quelques cubes de coing puis de foie gras. Enroulez. Répétez l’opération.
Placez vos boureks sur une plaque de cuisson beurrée. Beurrez également le dessus de chacune d’elles. Faites cuire au four jusqu’à ce qu’à obtenir une belle couleur dorée (environ 15 minutes).
Saupoudrez d’un peu de sucre glace.
Astuces
Le perdreau peut être remplacé par de la caille.
provence- Gros besoin de se défouler
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- Message n°188
pps tres beaux
Voir le Fichier : 08___On_n_a_pas_tous_la_meme_chance.pps
Voir le Fichier : Devines_qui_je_suis_.pps
Voir le Fichier : fait_moi_la_tendresse.pps
Voir le Fichier : un_jour_mon_reve__vicki.pps
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- Message n°189
poésies choisies pour vous
Les heures sont des fleurs l'une après l'autre écloses dans l'éternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu'à l'amour
Ainsi que de l'éclair, rien ne reste de l'heure, qu'au néant destructeur le temps vient de donner ; Dans son rapide vol embrassez la meilleure, toujours celle qui va sonner.
Et retenez-la bien au gré de votre envie, comme le seul instant que votre âme rêva ; Comme si le bonheur de la plus longue vie était dans l'heure qui s'en va.
Vous trouverez toujours, depuis l'heure première Jusqu'à l'heure de nuit qui parle douze fois, les vignes, sur les monts, inondés de lumière, les myrtes à l'ombre des bois.
Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ; Le vin, ce sang nouveau, sur la lèvre versé, Rajeunit l'autre sang qui vieillit dans vos veines et donne l'oubli du passé.
Que l'heure de l'amour d'une autre soit suivie, Savourez le regard qui vient de la beauté ;
Être seul, c'est la mort ! Être deux, c'est la vie ! L'amour c'est l'immortalité !
Gérard de Nerval
Quand le destin d’humeur changeante nous accorde des faveurs nouvelles .
Quand le fleuve des plaisirs, naguère desséché, inonde soudain notre vie .
Quand les amis frappent à notre porte et que les ennemis font trêve .
Quand des yeux tendres nous contemplent et que des sourires nous envoient leurs messages,
alors il est temps pour vous, Poète, de livrer vos rythmes au vent, d’unir votre coeur à un coeur et vos lèvres à d’autres lèvres. »
Mon visage est une page...
et mes rides en sont les lignes
Sur lesquelles s'écrit l'histoire de ma vie
A tous les reflets bleus d'une baguette magique
Qui transforme en artiste ,...le triste pour le beau
Au fil de ces rencontres aux liens universels
Ce jardin d'amies peut sembler virtuel
Si la magie existait
Je ne pourrais résister..
Michel- Se défoule à fond
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- Message n°190
Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
drome26 a écrit:
Chevreuil aux cerises et à l'orange
Ingrédients
1.5 kg de selle de chevreuil
100 g de lard
500 g de griottes
1 orange
1 c. à café de thym en poudre
3 baies de genièvre
40 g de beurre
1 c. à soupe de fécule de pommes de terre
37.5 cl de fond de viande
25 cl de liqueur de kirsch
sel, poivre du moulin
Accord vin
- Un Buzet (Rouge, Sud Ouest)
- Un Cassis (Blanc, Provence)
- Un Coteaux du languedoc (Rouge, Languedoc Roussillon)
Préparation
Piquez la viande avec les baies de genièvre.
Saupoudrez-la de thym, puis laissez-la reposer 10 minutes.
Retirez les baies de genièvre et le thym. Salez et poivrez la viande.
Faites dorer la viande dans le beurre, dans un grand plat allant au four. Recouvrez-la ensuite avec les tranches de lard et faites-la cuire dans le four préchauffé à 220°C (th. 7) pendant 35 à 45 minutes.
Au bout de 10 minutes, puis toutes les 8 minutes, arrosez la viande avec le bouillon.
Au bout de 30 minutes, retirez le lard et vérifiez la cuisson : la chair doit être souple, mais un peu rose.
Égouttez les cerises. Délayez la fécule dans leur jus et portez à ébullition, de façon à obtenir une sauce bien lisse.
Mettez les cerises dans la sauce. Ajoutez le kirsch. Incorporez le tout au jus de cuisson de la viande.
Lorsque la viande est cuite, laissez-la reposer 15 minutes dans le four, feu éteint et porte entre-ouverte.
Émincez la viande en tranches et dressez-la dans un plat de service chaud. Garnissez-la avec des tranches d'orange. Servez la sauce aux cerises à part.
===
Civet de lièvre automnal.
Ingrédients
lièvre désossé : 1
Pour la marinade:
côtes du Rhône : 2 bouteilles
vinaigre de vin : 0.5 dl
carotte : 2
oignon : 2
persil
thym, laurier
poivre en grains
Pour la garniture :
poitrine fumée : 250 g
champignons de Paris : 200 g
petits oignons : 200 g
marrons cuits : 200 g
figue : 6
airelles : 1 tasse
cognac : 1 dl
huile : 1 dl
beurre : 50 g
concentré de tomate : 1 c. à soupe
farine : 1 c. à soupe
sel, poivre
Accord vin
- Un Bordeaux (Blanc, Bordelais)
- Un Morgon (Rouge, Beaujolais)
- Un Saint-Nicolas de Bourgueil (Rouge, Val de Loire)
- Un Saint-pourçain (Rouge, Val de Loire)
Préparation
Mettez les morceaux de lièvre dans un plat avec les carottes et les oignons en rondelles les aromates le poivre; arrosez de vin et de vinaigre, laissez macérer au frais 24 heures.
Retirez les morceaux de lièvre à l'écumoire. Epongez, faites revenir avec la moitié de l'huile dans une grande cocotte, ajoutez la garniture de la marinade, laissez prendre une belle coloration. Arrosez de cognac et flambez.
Saupoudrez de farine mélangez et laissez cuire quelques minutes avant d'ajouter le vin de la marinade, le concentré de tomate; salez, poivrez.
Laissez cuire à couvert, 1 heure 15 environ.
Préparez la garniture : faites revenir à l'huile la poitrine fumée coupée en lardons, ajoutez les champignons coupés en 4.
Mettez les oignons avec la moitié du beurre dans une sauteuse, couvrez d'eau et laissez à feu doux jusqu'à évaporation du liquide.
Réchauffez les figues et les marrons avec le reste de beurre.
Retirez les morceaux de lièvre, tenez-les au chaud. Filtrez le vin de cuisson, laissez réduire, ajoutez les airelles.
Servez le civet bien chaud avec sa garniture de lardons, champignons oignons figues, marrons et la sauce aux airelles.
===
Boureks de perdreau aux coings et au foie gras
Ingrédients
1 petit perdreau (250 g)
1 oignon
1cube légume
quelques branches de thym
1/2 coing
50 g + 40 g à soupe de sucre
1 L d’eau
30 g de beurre
60 g de foie gras
1 pack de filo
sucre glace
Préparation
Préchauffez le four th. 6 (180°C).
Bien nettoyer le perdreau. Faites-le revenir avec un peu d’huile pour bien le faire dorer. Ajoutez l’oignon haché et le thym puis recouvrez de bouillon. Laissez cuire à couvert environ 30 minutes.
Détachez la chair du perdreau puis remettez-la avec les oignons. Laissez cuire jusqu’à ce le liquide s’évapore. Rectifiez l’assaisonnement si besoin.
Pelez le coing et coupez-le en tout petits cubes. Portez l’eau à ébullition, ajoutez 50 g de sucre et le coing en morceau. Laissez cuire environ 15 minutes.
Égouttez les cubes de coings à la passoire. Puis faites-les revenir la poêle avec le beurre et 40 g de sucre. Laissez caraméliser, puis éteingnez le feu.
Coupez le foie gras en petits cubes.
Coupez vos feuilles de filo en rectangles.
Étalez une première feuille de filo, passez un peu de beurre fondu au pinceau, et mettez une seconde feuille.
Distribuez un peu de préparation de perdreau, quelques cubes de coing puis de foie gras. Enroulez. Répétez l’opération.
Placez vos boureks sur une plaque de cuisson beurrée. Beurrez également le dessus de chacune d’elles. Faites cuire au four jusqu’à ce qu’à obtenir une belle couleur dorée (environ 15 minutes).
Saupoudrez d’un peu de sucre glace.
Astuces
Le perdreau peut être remplacé par de la caille.
Simone , je veux maigrir et là tu vas m'engraisser comme un petit cochon ........
Jean-pierre- Se défoule à fond
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Re: Fonctionnement de l'espace personnel.
Tu es déjà gros.
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