MAUDIT 14 JUILLET.
Elle est belle celle-la .
Regardes moi ça la bleue suivit de la rose.
Elle va finir en gerbe en explosant.
Quel ciel étoilé d'une part,mais coloré aussi.
J'en ai plein les yeux ,et que dire du reflet dans la mer.
Une soirée festive comme chaque date du quatorze juillet.
Ma fille jeanne trop heureuse ,cela se voit a son visage.
Et mon fils qui n'arrête pas de parler,tant sa joie est profonde.
Chantons,fredonnons cet air de musique digne du carnaval de nice.
Laissons nous aller a cette alégresse.
Qu'elle gaitée ! et brouhaha du public nombreux.
Le bonheur d'un soir ou la chaleur de la journée se meurt lentement.
Moment d'ivresse de jubilation !
Un bruit de mécanique se fait entendre de plus en plus.
Énorme la grosse rouge qui éclaire le firmament.
Serais-ce possible qu'une fusée soit bruyante de cette façon ?
Mais ... j'ai la berlue ou suis-je entrain de divaguer ?
Une masse noire se déplace ,de plus en plus vite et des cris.......
Mécanique folle mais que fais-tu ?
Ah l'horreur ! ! ...... et ces feux d'artifices qui continuent .....
Ma fille ou es-tu ? ma fille .... ma fille ...jeanne ,jeanne ou es-tu ?
Vite courrez tous !
Des cris des cris et encore des cris sont ils de plaisirs ou de
Hurlements dans mes oreilles,je cours sans trop savoir ou je vais.
Mon mari n'est pas a mes cotés,ni mon fils.au secours je suis seule.
Mais pourquoi moi ?
Folie d'un moment ,tout ce mélange dans ma tête.
Je cours et j'aperçois ma petite jeanne,allongée a terre .
Je crie une fois,puis deux puis je hurle comme une folle.
Ma fille,ma fille ....... c'est moi,c'est maman ,réponds moi.
Circulez madame,ne restez pas là.
Mais quoi ,vous étes fou,c'est ma fille ,ma fille MA FILLE ...........
Elle ne répondra plus jamais .
Cet horrible camion bélier,conduit par un malade islamique.
Ma fille fait parti des quatre vingt six morts .......
Et quatre cent cinquante huits blessés .
Ce matin je pleure de toutes mes larmes,mon mari est a mes cotés.
Mon fils n'aura plus jamais la présence de sa petite soeur pour jouer
Comme des enfants sages .
Ses yeux sont rouge de douleurs,gros chagrins comme un désespoir.
Plus rien ne sera désormais pareil.
En hommage aux victimes de la folie d'un homme illuminé et qui avait prété allégeance a des fous sanguinaires.
Femmes,hommes,enfants morts pour une soirée qui devait être celle d'une liesse populaire dans une des plus belles villes de france.1 an déjà et jamais plus jamais ça !
cosmos
Elle est belle celle-la .
Regardes moi ça la bleue suivit de la rose.
Elle va finir en gerbe en explosant.
Quel ciel étoilé d'une part,mais coloré aussi.
J'en ai plein les yeux ,et que dire du reflet dans la mer.
Une soirée festive comme chaque date du quatorze juillet.
Ma fille jeanne trop heureuse ,cela se voit a son visage.
Et mon fils qui n'arrête pas de parler,tant sa joie est profonde.
Chantons,fredonnons cet air de musique digne du carnaval de nice.
Laissons nous aller a cette alégresse.
Qu'elle gaitée ! et brouhaha du public nombreux.
Le bonheur d'un soir ou la chaleur de la journée se meurt lentement.
Moment d'ivresse de jubilation !
Un bruit de mécanique se fait entendre de plus en plus.
Énorme la grosse rouge qui éclaire le firmament.
Serais-ce possible qu'une fusée soit bruyante de cette façon ?
Mais ... j'ai la berlue ou suis-je entrain de divaguer ?
Une masse noire se déplace ,de plus en plus vite et des cris.......
Mécanique folle mais que fais-tu ?
Ah l'horreur ! ! ...... et ces feux d'artifices qui continuent .....
Ma fille ou es-tu ? ma fille .... ma fille ...jeanne ,jeanne ou es-tu ?
Vite courrez tous !
Des cris des cris et encore des cris sont ils de plaisirs ou de
Hurlements dans mes oreilles,je cours sans trop savoir ou je vais.
Mon mari n'est pas a mes cotés,ni mon fils.au secours je suis seule.
Mais pourquoi moi ?
Folie d'un moment ,tout ce mélange dans ma tête.
Je cours et j'aperçois ma petite jeanne,allongée a terre .
Je crie une fois,puis deux puis je hurle comme une folle.
Ma fille,ma fille ....... c'est moi,c'est maman ,réponds moi.
Circulez madame,ne restez pas là.
Mais quoi ,vous étes fou,c'est ma fille ,ma fille MA FILLE ...........
Elle ne répondra plus jamais .
Cet horrible camion bélier,conduit par un malade islamique.
Ma fille fait parti des quatre vingt six morts .......
Et quatre cent cinquante huits blessés .
Ce matin je pleure de toutes mes larmes,mon mari est a mes cotés.
Mon fils n'aura plus jamais la présence de sa petite soeur pour jouer
Comme des enfants sages .
Ses yeux sont rouge de douleurs,gros chagrins comme un désespoir.
Plus rien ne sera désormais pareil.
En hommage aux victimes de la folie d'un homme illuminé et qui avait prété allégeance a des fous sanguinaires.
Femmes,hommes,enfants morts pour une soirée qui devait être celle d'une liesse populaire dans une des plus belles villes de france.1 an déjà et jamais plus jamais ça !
cosmos