C’est un régal !
On avait déjà eu des poèmes , je n’avais pas connaissance de celui-ci.
Bravo à l’auteur.
EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS" DU QUÉBEC
Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
Voilà que, titillé par une envie pressante,
Grassouillet est allé retrouver son amante.
Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
La France est médusée, les Français sont perplexes,
Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
On avait échappé aux frasques de D.S.K.
Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
La posture du dindon cachait un Cupidon.
Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle,
Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
Il a casé Anne à la mairie de Paris.
Finie la vie en rose avec sa Valérie,
Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
J’ai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste.
On avait déjà eu des poèmes , je n’avais pas connaissance de celui-ci.
Bravo à l’auteur.
EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS" DU QUÉBEC
Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
Voilà que, titillé par une envie pressante,
Grassouillet est allé retrouver son amante.
Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
La France est médusée, les Français sont perplexes,
Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
On avait échappé aux frasques de D.S.K.
Voilà que l’Élysée nous offre un autre cas ....
Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
La posture du dindon cachait un Cupidon.
Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle,
Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.
Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
Il a casé Anne à la mairie de Paris.
Finie la vie en rose avec sa Valérie,
Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir
Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute
Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre,
Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides
Plaçait tous leurs copains inutiles et avides
De ne jamais rien faire, à part un peu de lard
Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard
Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE
Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir
Nous dire : bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir
J’ai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir
Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs
L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !
Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux
Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux
Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue
Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.
Le p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.
Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage
Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage
Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités
Il en a rien à foutre de tous les électeurs
Maintenant qu'il a la place, il y met tout son cœur
Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur
Le p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires
Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons
C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con
Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir
Il n'y avait pas de crise, il l’a pas vu venir…
Le p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour
Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.
Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,
Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.
Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes
Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste.