Les Jeux Olympiques d'été de Rio viennent à peine de se terminer que les yeux sont déjà tournés vers ceux de Tokyo en 2020, et vers la sélection de la ville-hôte pour l'édition suivante en 2024 .
Paris , malheureux en 2001 et 2005 (pour les JO de 2008 et 2012 , qui ont échu à Pékin puis Londres) , est à nouveau candidat , avec l'espoir que, cette fois , le dossier sera suffisamment convaincant pour obtenir le feu vert du Comité international olympique (CIO) .
Mais outre les doutes qu'ont suscités les attentats de 2015 et 2016 et les blocages contre la "Loi Travail" sur la sécurité d'une éventuelle olympiade parisienne , la probité de certains membres du comité de soutien à la candidature de Paris n'est pas au-dessus de tout soupçon .
Le site Mediapart révélait récemment que Jean-Louis Boujon , ancien président de l'UNSS et de la Fédération internationale du sport scolaire condamné pour après avoir détourné des subventions à son profit, était à Rio pour y représenter la délégation française de rugby à VII . Il fait également partie du comité de soutien pour Paris 2024 .
Cette affaire , pour l'heure peu commentée par les médias , en dit long sur l'état du sport français, véritable tonneau des Danaïdes d'argent public , et ce avec des résultats en recul relatif depuis les années 1990 .
Récemment , on apprenait par ailleurs que le président du Sénat , Gérard Larcher , a obtenu des sénateurs la poursuite en diffamation du journaliste d'investigation Yvan Stéfanovitch , auteur d'un livre dénonçant leurs privilèges . Cette procédure contre un essayiste bien connu des contribuables sera , comme toutes celles engagées par des élus , intégralement payée par les mêmes contribuables Gérard Larcher n'en est pas à sa première tentative en matière de musèlement de la presse : en 2015 , il avait saisi le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) contre France 3 , qui dans son magazine "Pièces à Conviction" , avait dressé l'inventaire des avantages des sénateurs .
Cette entrave à la liberté de la presse en dit long sur le chemin qui reste à parcourir vers la transparence de la vie publique .
"Selon que vous serez puissant ou misérable , les jugements de cour vous rendront blanc ou noir" . Cette phrase célèbre de Jean de La Fontaine (dans sa fable Les Animaux malades de la peste) semble toujours être d'actualité , plus de trois siècles après .
On apprenait en effet ces derniers jours qu'une vice-présidente du Conseil régional d'Occitanie , Béatrice Négrier (socialiste bien entendu) , n'a été condamnée qu'à 4000 euros d'amende (dont 20% d'abattement si elle s'en acquitte dans le mois ) alors qu'elle a détourné 356.415 euros à son profit. Elle a même obtenu du juge que cette condamnation ne se soit pas portée à son casier judiciaire; n'hésitez pas à diffuser à "donf"
Dans la même région , un sans-abri qui avait volé un paquet de pâtes et un autre de riz à l'étalage a écopé de deux mois de prison ferme .
Depuis , Béatrice Négrier a démissionné de la vice-présidence de la Région , mais reste conseillère régionale. Et sa condamnation clémente (euphémisme) est, elle, définitive.
Merci pour votre attention, et à très bientôt ; bah oui , le cahuzac balance sur Rocard qui lui ne peut plus se défendre puisqu'il est mort !!!!!!!
Plus dégueulasse , je n'ai pas encore trouvé , mais a l'avenir SVP , ne votez plus jamais à gauche !!!!!!!!
Paris , malheureux en 2001 et 2005 (pour les JO de 2008 et 2012 , qui ont échu à Pékin puis Londres) , est à nouveau candidat , avec l'espoir que, cette fois , le dossier sera suffisamment convaincant pour obtenir le feu vert du Comité international olympique (CIO) .
Mais outre les doutes qu'ont suscités les attentats de 2015 et 2016 et les blocages contre la "Loi Travail" sur la sécurité d'une éventuelle olympiade parisienne , la probité de certains membres du comité de soutien à la candidature de Paris n'est pas au-dessus de tout soupçon .
Le site Mediapart révélait récemment que Jean-Louis Boujon , ancien président de l'UNSS et de la Fédération internationale du sport scolaire condamné pour après avoir détourné des subventions à son profit, était à Rio pour y représenter la délégation française de rugby à VII . Il fait également partie du comité de soutien pour Paris 2024 .
Cette affaire , pour l'heure peu commentée par les médias , en dit long sur l'état du sport français, véritable tonneau des Danaïdes d'argent public , et ce avec des résultats en recul relatif depuis les années 1990 .
Récemment , on apprenait par ailleurs que le président du Sénat , Gérard Larcher , a obtenu des sénateurs la poursuite en diffamation du journaliste d'investigation Yvan Stéfanovitch , auteur d'un livre dénonçant leurs privilèges . Cette procédure contre un essayiste bien connu des contribuables sera , comme toutes celles engagées par des élus , intégralement payée par les mêmes contribuables Gérard Larcher n'en est pas à sa première tentative en matière de musèlement de la presse : en 2015 , il avait saisi le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) contre France 3 , qui dans son magazine "Pièces à Conviction" , avait dressé l'inventaire des avantages des sénateurs .
Cette entrave à la liberté de la presse en dit long sur le chemin qui reste à parcourir vers la transparence de la vie publique .
"Selon que vous serez puissant ou misérable , les jugements de cour vous rendront blanc ou noir" . Cette phrase célèbre de Jean de La Fontaine (dans sa fable Les Animaux malades de la peste) semble toujours être d'actualité , plus de trois siècles après .
On apprenait en effet ces derniers jours qu'une vice-présidente du Conseil régional d'Occitanie , Béatrice Négrier (socialiste bien entendu) , n'a été condamnée qu'à 4000 euros d'amende (dont 20% d'abattement si elle s'en acquitte dans le mois ) alors qu'elle a détourné 356.415 euros à son profit. Elle a même obtenu du juge que cette condamnation ne se soit pas portée à son casier judiciaire; n'hésitez pas à diffuser à "donf"
Dans la même région , un sans-abri qui avait volé un paquet de pâtes et un autre de riz à l'étalage a écopé de deux mois de prison ferme .
Depuis , Béatrice Négrier a démissionné de la vice-présidence de la Région , mais reste conseillère régionale. Et sa condamnation clémente (euphémisme) est, elle, définitive.
Merci pour votre attention, et à très bientôt ; bah oui , le cahuzac balance sur Rocard qui lui ne peut plus se défendre puisqu'il est mort !!!!!!!
Plus dégueulasse , je n'ai pas encore trouvé , mais a l'avenir SVP , ne votez plus jamais à gauche !!!!!!!!