par pascal Mar 22 Déc - 20:49<blockquote> Les transports Becquet, sont
une référence, tout d'abord, les camions imaginé par un concepteur
maison, pour qu'ils soient les plus léger possible, puis le mode de
vie, les chauffeurs qui rentraient chez Becquet rentraient dans une
famille, souvent ils bénéficiaient d'une maison individuelle, mais et
surtout les règlements sociaux étaient respecté à la lettre. Une maison
est crée par un homme et il imprime de sa présence les qualités qu'il
détient dans le cas de Monsieur Becquet les qualités étaient
indéniables.
</blockquote>
Un peu comme
le faisait Antoine Lohéac sur des chassis des surplus, les transports
Becquet carrossaient leurs véhicules sur des chassis Saviem JL 20 et
concevaient des cabines très légères pour gagner en charge utile. Ce
modèle date de 1965. On peut voir que le confort était très spartiate,
l'isolation phonique et thermique inexistante. Les chauffeurs avaient
du mérite à l'époque. Certains se plaignent du manque de confort de
certaines cabines actuelles.... Je me suis laissé dire que certains de
ces camions descendaient jusqu'en Espagne et que la couchette
escamotable était suspendue au dessus du chauffeur. Je ne connais pas
la puissance exacte du moteur
<blockquote>Ses
premiers tracteurs avec le type de cabine maison étaient des Bernard de
150 cv, ensuite ce sont des Saviem JL 20 à moteur Somua de 150 cv enfin
des Saviem à moteur Man de 200 cv. Ils allaient vraiment partout dans
tous les pays de l'UE là ou kulmann les envoyait. C'était des cabines
vraiment rudimentaires, tous les tuyaux d'air et cables electriques
étaient apparents (comme sur la photo)la couchette était dans la bulle
au dessus de la tête du chauffeur et descendait à hauteur du seul siège
que la cabine était équipée car à droite il y avait un coussin posé sur
la caisse à outils, c'était simple l'auto-stop était interdit. Becquet
allégeait ses camions un maximum, pas de béquilles, pas de roues de
secours, pas de plaques d'immatriculation ni de feux à l'arrière du
tracteur, seulement 2 feux rouges à l'arrière de la semi, le feu rouge
et le feu de position ne faisait qu'un.
Pour
la petite histoire, Becquet à dû envoyer un tracteur en dépannage de
Lille à Dunkerque, son conducteur à Wormhout, devait passer devant la
gendarmerie et là il y avait un chef vraiment anti camion, et voyant le
tracteur rouler vers Dunkerque, a lancé ses motards à la poursuite qui
ont mobimisé le véhicule à bergues et l'ont immobilisé avec à la clé 10
contraventions et obligation de déplacer le tracteur avec une semi
porte char.
</blockquote>
une référence, tout d'abord, les camions imaginé par un concepteur
maison, pour qu'ils soient les plus léger possible, puis le mode de
vie, les chauffeurs qui rentraient chez Becquet rentraient dans une
famille, souvent ils bénéficiaient d'une maison individuelle, mais et
surtout les règlements sociaux étaient respecté à la lettre. Une maison
est crée par un homme et il imprime de sa présence les qualités qu'il
détient dans le cas de Monsieur Becquet les qualités étaient
indéniables.
</blockquote>
Un peu comme
le faisait Antoine Lohéac sur des chassis des surplus, les transports
Becquet carrossaient leurs véhicules sur des chassis Saviem JL 20 et
concevaient des cabines très légères pour gagner en charge utile. Ce
modèle date de 1965. On peut voir que le confort était très spartiate,
l'isolation phonique et thermique inexistante. Les chauffeurs avaient
du mérite à l'époque. Certains se plaignent du manque de confort de
certaines cabines actuelles.... Je me suis laissé dire que certains de
ces camions descendaient jusqu'en Espagne et que la couchette
escamotable était suspendue au dessus du chauffeur. Je ne connais pas
la puissance exacte du moteur
<blockquote>Ses
premiers tracteurs avec le type de cabine maison étaient des Bernard de
150 cv, ensuite ce sont des Saviem JL 20 à moteur Somua de 150 cv enfin
des Saviem à moteur Man de 200 cv. Ils allaient vraiment partout dans
tous les pays de l'UE là ou kulmann les envoyait. C'était des cabines
vraiment rudimentaires, tous les tuyaux d'air et cables electriques
étaient apparents (comme sur la photo)la couchette était dans la bulle
au dessus de la tête du chauffeur et descendait à hauteur du seul siège
que la cabine était équipée car à droite il y avait un coussin posé sur
la caisse à outils, c'était simple l'auto-stop était interdit. Becquet
allégeait ses camions un maximum, pas de béquilles, pas de roues de
secours, pas de plaques d'immatriculation ni de feux à l'arrière du
tracteur, seulement 2 feux rouges à l'arrière de la semi, le feu rouge
et le feu de position ne faisait qu'un.
Pour
la petite histoire, Becquet à dû envoyer un tracteur en dépannage de
Lille à Dunkerque, son conducteur à Wormhout, devait passer devant la
gendarmerie et là il y avait un chef vraiment anti camion, et voyant le
tracteur rouler vers Dunkerque, a lancé ses motards à la poursuite qui
ont mobimisé le véhicule à bergues et l'ont immobilisé avec à la clé 10
contraventions et obligation de déplacer le tracteur avec une semi
porte char.
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