Le 9 janvier 2014, Arno Kralsfeld, le fils des chasseurs de nazis Serge et Béate Klarsfeld, en plein milieu de l’affaire de l’antisémite Dieudonné, déclarait sur à I Télé :
« Non, la France n’est pas antisémite, il y a le noyau dur de l’extrême droite qui l’est vigoureusement, une partie de l’ultra gauche et les islamistes et une partie des jeunes de banlieue ».
L’avocat membre du Conseil d’Etat avait prononcé les mots interdit : « une partie des jeunes de banlieue » sont antisémites.
Et la cour d’appel de Versailles, le 15 janvier 2015, le convoque pour une éventuelle mise en examen.
La France de 1940 avait contraint les juifs à se résigner à accepter en silence l’antisémitisme.
La France socialiste de 2015 a bien retenu les leçons de l’histoire.
Elle contraint les juifs à se résigner à accepter en silence l’antisémitisme sous peine de poursuites.
En mai 2014, Klarsfeld avait déclaré à ActuJ :
« Je suis avant tout très attristé que le représentant du ministère public ait jugé nécessaire d’ouvrir un réquisitoire introductif alors que les propos que j’ai tenus sont à la fois d’une grande modération et d’une grande évidence. Je suis d’autant plus attristé que mon père (Serge) et moi-même défendons la France sur les questions d’antisémitisme. »
Klarsfeld ajoutait :
« Sur la convocation, le juge d’instruction envisage une mise en examen. On verra… Je ne regrette pas d’avoir tenu ces propos qui sont à mes yeux une évidence. L’auteur des tueries de Toulouse était issu des banlieues, non ? L’affaire Ilan Halimi ne s’est pas non plus passée sur la planète Mars. Je rappelle que dans mes propos je n’ai pas englobé tous les jeunes des banlieues. J’ai dit qu’une partie était antisémite. C’est la vérité. Je ne vois pas comment cela peut déboucher sur une condamnation. »
Le ministre Cazeneuve a déclarer faire de la lutte contre l’antisémitisme une cause nationale, cette muselière judiciaire fait certainement partie du plan.
Mais le site islamiste al Kanz a le droit d’écrire ceci sans attirer l’attention du procureur de la République (ne parlons pas des associations anti-« racistes », elles sont trop occupées à inventer ce que Zemmour pense mais ne dit pas) :
Al Kanz: « La France n’est pas islamophobe mais une partie de la jeunesse juive des quartiers riches est violemment islamophobe »
La France file un mauvais coton. Celui dont on confectionne les baillons.
« Non, la France n’est pas antisémite, il y a le noyau dur de l’extrême droite qui l’est vigoureusement, une partie de l’ultra gauche et les islamistes et une partie des jeunes de banlieue ».
L’avocat membre du Conseil d’Etat avait prononcé les mots interdit : « une partie des jeunes de banlieue » sont antisémites.
Et la cour d’appel de Versailles, le 15 janvier 2015, le convoque pour une éventuelle mise en examen.
La France de 1940 avait contraint les juifs à se résigner à accepter en silence l’antisémitisme.
La France socialiste de 2015 a bien retenu les leçons de l’histoire.
Elle contraint les juifs à se résigner à accepter en silence l’antisémitisme sous peine de poursuites.
En mai 2014, Klarsfeld avait déclaré à ActuJ :
« Je suis avant tout très attristé que le représentant du ministère public ait jugé nécessaire d’ouvrir un réquisitoire introductif alors que les propos que j’ai tenus sont à la fois d’une grande modération et d’une grande évidence. Je suis d’autant plus attristé que mon père (Serge) et moi-même défendons la France sur les questions d’antisémitisme. »
Klarsfeld ajoutait :
« Sur la convocation, le juge d’instruction envisage une mise en examen. On verra… Je ne regrette pas d’avoir tenu ces propos qui sont à mes yeux une évidence. L’auteur des tueries de Toulouse était issu des banlieues, non ? L’affaire Ilan Halimi ne s’est pas non plus passée sur la planète Mars. Je rappelle que dans mes propos je n’ai pas englobé tous les jeunes des banlieues. J’ai dit qu’une partie était antisémite. C’est la vérité. Je ne vois pas comment cela peut déboucher sur une condamnation. »
Le ministre Cazeneuve a déclarer faire de la lutte contre l’antisémitisme une cause nationale, cette muselière judiciaire fait certainement partie du plan.
Mais le site islamiste al Kanz a le droit d’écrire ceci sans attirer l’attention du procureur de la République (ne parlons pas des associations anti-« racistes », elles sont trop occupées à inventer ce que Zemmour pense mais ne dit pas) :
Al Kanz: « La France n’est pas islamophobe mais une partie de la jeunesse juive des quartiers riches est violemment islamophobe »
La France file un mauvais coton. Celui dont on confectionne les baillons.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Après ça la gauche viendra aboyer contre les actes se voulant faire taire la liberté d'expression ; là franchement c'est , si je puis dire , à mourir de rire !!!!!!
Une fois de plus ses clowns , champions de l'amateurisme toute catégorie , veulent donner des leçons , mais où vont-ils un jour s'arrêter
Après ça la gauche viendra aboyer contre les actes se voulant faire taire la liberté d'expression ; là franchement c'est , si je puis dire , à mourir de rire !!!!!!
Une fois de plus ses clowns , champions de l'amateurisme toute catégorie , veulent donner des leçons , mais où vont-ils un jour s'arrêter