Un enfant de 9 ans a donné un coup de poing au visage de sa maîtresse, qui a perdu connaissance. L’écolier a été entendu lundi au commissariat d’Argenteuil, accompagné de ses parents. L’enseignante a déposé plainte, mais aucune poursuite judiciaire ne sera bien sûr engagée contre l’enfant vu son très jeune âge.
Les faits remontent à vendredi matin quand l’écolier se retrouve seul avec sa maîtresse, dans l’école Jean-Jacques-Rousseau, à Argenteuil. Les autres élèves de la classe viennent de partir pour une activité sportive mais lui doit encore terminer le travail que l’enseignante lui réclame. Elle rencontre d’ailleurs bien des difficultés pour obtenir satisfaction. Le ton monte entre l’enseignante de 27 ans et son élève. Elle tente semble-t-il de le maintenir en place, le retient par ses vêtements. Mais lui se débat violemment dans le couloir et c’est alors, en se débattant, qu’il délivre un violent coup de poing au visage de son institutrice.
L’institutrice a porté plainte
L’enseignante perd connaissance alors qu’un de ses collègues est à ses côtés. Lorsque les services de police, avertis par l’école, arrivent sur place, l’institutrice reprend ses esprits. Elle ne souhaitera pas consulter un médecin de l’unité-médico-judiciaire ni arrêter le travail. Elle déposera cependant plainte pour ces violences.
C’est dans ce cadre que les policiers d’Argenteuil sont amenés à auditionner le jeune garçon afin qu’il explique ce qui s’est passé vendredi matin. Il est accompagné de ses parents pour cette séance de rappel à la loi pour le moins solennelle. Il aurait expliqué s’être débattu afin que sa maîtresse lâche son pull-over.
Selon l’inspection académique du Val-d’Oise, l’élève doit être changé d’école ces prochains jours. « Ce type d’agression au sein des écoles primaires est rare. Ce sont des faits très isolés », insistait hier soir l’inspection. Le dernier fait similaire dans le Val-d’Oise remonte à un an et demi : un élève de 10 ans avait frappé violemment son enseignante dans une école de Persan. Elle avait été blessée aux bras et aux jambes.
« Nous n’avons pas d’indicateurs ou de statistiques qui nous permettraient de savoir s’il y a une montée en charge de la violence dans le premier degré », indique Kamel Ould Bouali, responsable du syndicat des enseignants du premier degré (Snuipp). « Ce qui ressort, lors de nos réunions, c’est que les enfants sont plus difficiles à gérer. Ils ne sont plus les mêmes qu’il y a dix ans. » Il évoque aussi les plus grandes difficultés à travailler en amont, dans le domaine de la prévention, avec les suppressions de postes dans les Rased, réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté
Le Parisien
Les faits remontent à vendredi matin quand l’écolier se retrouve seul avec sa maîtresse, dans l’école Jean-Jacques-Rousseau, à Argenteuil. Les autres élèves de la classe viennent de partir pour une activité sportive mais lui doit encore terminer le travail que l’enseignante lui réclame. Elle rencontre d’ailleurs bien des difficultés pour obtenir satisfaction. Le ton monte entre l’enseignante de 27 ans et son élève. Elle tente semble-t-il de le maintenir en place, le retient par ses vêtements. Mais lui se débat violemment dans le couloir et c’est alors, en se débattant, qu’il délivre un violent coup de poing au visage de son institutrice.
L’institutrice a porté plainte
L’enseignante perd connaissance alors qu’un de ses collègues est à ses côtés. Lorsque les services de police, avertis par l’école, arrivent sur place, l’institutrice reprend ses esprits. Elle ne souhaitera pas consulter un médecin de l’unité-médico-judiciaire ni arrêter le travail. Elle déposera cependant plainte pour ces violences.
C’est dans ce cadre que les policiers d’Argenteuil sont amenés à auditionner le jeune garçon afin qu’il explique ce qui s’est passé vendredi matin. Il est accompagné de ses parents pour cette séance de rappel à la loi pour le moins solennelle. Il aurait expliqué s’être débattu afin que sa maîtresse lâche son pull-over.
Selon l’inspection académique du Val-d’Oise, l’élève doit être changé d’école ces prochains jours. « Ce type d’agression au sein des écoles primaires est rare. Ce sont des faits très isolés », insistait hier soir l’inspection. Le dernier fait similaire dans le Val-d’Oise remonte à un an et demi : un élève de 10 ans avait frappé violemment son enseignante dans une école de Persan. Elle avait été blessée aux bras et aux jambes.
« Nous n’avons pas d’indicateurs ou de statistiques qui nous permettraient de savoir s’il y a une montée en charge de la violence dans le premier degré », indique Kamel Ould Bouali, responsable du syndicat des enseignants du premier degré (Snuipp). « Ce qui ressort, lors de nos réunions, c’est que les enfants sont plus difficiles à gérer. Ils ne sont plus les mêmes qu’il y a dix ans. » Il évoque aussi les plus grandes difficultés à travailler en amont, dans le domaine de la prévention, avec les suppressions de postes dans les Rased, réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté
Le Parisien
Qui est reponsable la dedans ???? Le gamin ???? Les parents ???? La société ???? Facile non ?? Bientôt ils vont se rebeller a la maternelle car tout leur est permis a ces enfants rois !!!!!